home

search

Chapitre 1 : La Fin d’un Monde, Le Début d’un Autre

  Tokyo. Une ville qui ne dort jamais, o les lumières des cieux brillants comme des étoiles artificielles dans un ciel de beton. Mais pour moi, ces lumières n’s rien de fascinant. Elles ne fontaient que clignoter dans l’, tout comme moi.

  Je parleappelle Akira. Je n’ai ni amis proches, ni famille, ni ambition. Mon quotidien se réveil à me lever tout, à prendre le monde comme un automate, à travailler dans un bureau sans cinéma, puis à louer dans mon petit appartement o m’attendait mon gar?on réparait mon gar?on repas : des nouvelles instantanees.

  Chaque jour était une copie du principe. Une boucle infinie.

  Mais ce soir-là..

  Ce soir-là, tout un changement.

  J’ai suivi ma routine habituelle. Métro, travail, retour à la maison. Comme d’habitude, j’ fait bouillir de l’au pour devenir mon d'esprit. La vapeur s’eleva du bol, dansant mollement sous la lumiere blafarde de ma cuisine. Je suis surprise à fixer cette vapeur, perdu dans mes pensées.

  — ..Quel ennui.

  C’ait une phrase que je me repetais couvent, mais cette fois-ci... j’ai ressenti quelque a choisi d’etrange en la pronon?ant.

  Comme si... mon corps savait que c’ait la dernière fois que je vivrais cette école.

  J’ai porte les nouvelles à ma bouche. Une bouchée. Puis une autre. Le gokt est toujours aussi fade. Mais à la troisieme...

  — ...Hngh..?!

  Une douce atroce transper?a mon estomac. Une sensation de feu se propagea dans mes entrailles. Ma vision se brouilla. Le chateau mes baguettes qui tombèrent dans le bol, enclaboussant la table de bouillon chaud.

  Mon souffle se coupe. Mon corps nouveau plus.

  Je parle de moi sur le sol carrelé. La douceur insupportable.

  Je vais mourir.?? Juste comme ?a...?

  Mon champ de vision s’obscurcit, le monde autour de moi s’s.

  Ma dernière pensée fut simple.

  Ridicule.. mourir à cause de nouvelles instantanées...

  Puis, plus rien.

  ..

  ..

  ..

  L’air est différent.

  Une douce chaleur caressait ma peau.

  J’ouvris sommeil les yeux. Un plafond en bois sculpté s’s etendait au-dessus de moi. Il y avait une odeur que je ne reconnaissais pas, un mélange de bois ancien et de linge propre.

  Ce n’ait pas.. mon appartement.

  — Hnngh..

  Stolen content warning: this content belongs on Royal Road. Report any occurrences.

  Ma voix était différente. Plus jeune. Plus claire.

  Je me redressai lentement, encore engourdi. Sous moi, un lit moelleux. Un vrai lit, pas mon vieux futon. Mes mains tremblaient. J’abaissai mon regard et..

  — ..Ce ne sont pas mes mains.

  Elles sont élevées plus amendes. Plus jeunes. Je les approchai de mon visage et théatre mes joues.

  Plus de barbe de trois jours. Plus de cernes créuses par des années de fatigue.

  Un frisson parcourut mon echine.

  Ce n’est pas.. mon corps...?.

  Le c ? ur battant, je repoussai les draps et me levai pratique. Mes jambes faillirent me trahir, mais je tins bon. Autour de moi, la pièce ait fait d'être sobrement mais avec une éloquence certaine. Des meubles en bois massif, une armoire, une fenêtre aux rideaux fins qui laisse filtrer une lumière douce...

  Rien à voir avec mon appartement misérable de Tokyo.

  Je m’approchai du miroir accroché près de la porte.

  Et ce que je vis..

  — ...C’est moi...?

  Un jeune gar?on d’environ 14 ou 15 ans me fixe. Des cheveux noirs, des traits fins, une peau lisse, des yeux d’un bleu profond... Un visage que je ne reconnaissais pas pas, et pourtant...

  Ce corps est le ma?tre maintenant.

  J’avalai ma salive, sentant une vague de panique monter en moi.

  O où est-ce que je ? Pourquoi est-il ici ?

  Et surtout..

  Pourquoi n’ais-je pas mort ?

  Mon regard dériva vers une table près du lit. Un objet étranger y reposait. Une sorte de cristal taillé, éclairage luminescent, à la surface parcourue de motifs complexes.

  Sans que je sache pourquoi, cet artefact me captive.

  Je m’en approchai, le souffle court.

  Ce truc.

  J’impression qu’ m’appelait.

  Que si je le touchais..

  Tout changeait.

  Je tendis la main.

  Le bout de mes doigts effleura la surface gelée du cristal.

  — ...?!

  Une chaleur soudaine envahit mon corps. Des frissons parfum ma colonne verte, et une lumière vive éclata devant mes yeux.

  Une voix dans mon esprit.

  


  [Systeme d’Analyse Activé.]

  [Connexion avec l’H?te en cours..].

  Ma vision se brouilla. Une sensation étrange m’envahit, comme si une nouvelle pratique s’installait en moi.

  Puis, des mots apparurent devant mes yeux.

  


  [Bienvenue, Akira.]

  [Vous êtes venus lié à l’Interface d’Analyse.]

  Je reculai d’un pas, le c ? ur battant à tout rompre.

  C’ quoi, ?eta...? Un jeu vidéo ?

  Non.

  Tout fait trop réel.

  Trop.. vivant.

  Mon souffle fait court. Ma poitrine se soulevait rapidement.

  Je tournai la fête vers la fenêtre.

  ā l’steur, un paysage que je n’s jamais vu s’iendait à perte de vue. Une ville médiévale, des rues pauvres, des bains en pierre, des personnes vues de tuniques et d’s.

  Ce n’ait pas Tokyo.

  C’ait un autre monde.

  Et moi.

  Venais de renaitre dedans.

Recommended Popular Novels